Bartramie à feuilles dressées (Bartramia stricta bridel) programme de rétablissement : conformité aux exigences

Information supplémentaire requise pour satisfaire aux exigences de la LEP

1. Objectifs en matière de populations et de répartition

La présente section remplace la section « But du rétablissement » du programme de rétablissement provincial. L’objectif en matière de populations et de répartition consiste à maintenir la taille des populations existantes de bartramie à feuilles dressées à leur niveau actuel ou à un niveau plus élevé, et ce, dans l’ensemble de l’aire de répartition actuelle de l’espèce.

2. Mesures du rendement

La présente section remplace la section « Mesure du rendement » du programme de rétablissement provincial. Les progrès réalisés en vue de rétablir la bartramie à feuilles dressées au Canada seront évalués selon les mesures suivantes :

  • La population totale de l’espèce au Canada est maintenue à un niveau égal ou supérieur à celui de 2010 (en tenant compte de la variabilité annuelle naturelle).
  • Toutes les populations existant en 2010 sont préservées.

3. Habitat essentiel

La présente section remplace la section « Habitat essentiel » du programme de rétablissement provincial. Les zones constituant l’habitat essentiel de la bartramie à feuilles dressées sont désignées dans le présent programme de rétablissement. L’habitat essentiel est défini dans la Loi sur les espèces en péril comme étant « l’habitat nécessaire à la survie ou au rétablissement d’une espèce sauvage inscrite, qui est désigné comme tel dans un programme de rétablissement ou un plan d’action élaboré à l’égard de l’espèce » [paragraphe 2(1)]. L’habitat d’une espèce sauvage terrestre est défini dans la Loi sur les espèces en péril comme étant « […] l’aire ou le type d’endroit où un individu ou l’espèce se trouvent ou dont leur survie dépend directement ou indirectement ou se sont déjà trouvés, et où il est possible de les réintroduire » [paragraphe 2(1)].


3.1 Information utilisée pour désigner l’habitat essentiel

McIntosh (2008, 2009a, 2009b), en se fondant sur des travaux antérieurs (Belland, 1997a; Belland, 1997b; Fairbarns, 2008), a consigné les caractéristiques de l’habitat de la bartramie à feuilles dressées et a élaboré des cartes marquant l’emplacement des colonies (groupe d’individus poussant ensemble) et de l’habitat essentiel de l’espèce. La bartramie à feuilles dressées ne pousse que sur les substrats rocheux et terreux. De plus, elle dépend directement de l’eau que lui fournit son milieu environnant.

Il est important de souligner que les milieux environnant les colonies sont souvent vastes et toujours complexes; il est donc difficile d’y déceler les zones de suintement. De nombreuses caractéristiques de ces milieux peuvent avoir une incidence sur l’écoulement des eaux, dont une partie peut être souterrain. En raison de la complexité de ces milieux, il est difficile de déterminer précisément quels ravins et quelles zones de suintement influent sur les colonies de bartramie à feuilles dressées. Malgré ces difficultés, il a été possible de délimiter l’habitat essentiel de l’espèce en y incluant les ravins et les zones de suintement qui semblaient s’écouler vers les colonies ou près des colonies ainsi que les surfaces planes propices à l’espèce.

Afin de caractériser l’habitat de la bartramie à feuilles dressées, on a recueilli des données sur les conditions stationnelles et la végétation de microsites représentatifs de chaque localité existante. Le microsite est une petite superficie occupée par l’espèce au sein d’une plus grande localité. Ensuite, les caractéristiques communes à l’ensemble des microsites ont été retenues comme attributs de l’habitat essentiel (voir la section « Désignation de l’habitat essentiel »).


3.2 Désignation de l’habitat essentiel

En vue d’atteindre l’objectif en matière de populations et de répartition fixé pour la bartramie à feuilles dressées au Canada, l’habitat essentiel désigné dans le présent rapport se révèle nécessaire, mais insuffisantNote de bas de page 1. Les zones où se trouvent les milieux essentiels à la bartramie à feuilles dressées, qui sont délimitées sur les figures figure1, figure2 et figure3, comprennent l’emplacement où pousse l’espèce ainsi que le petit bassin versant associé à chaque colonie. Ce petit bassin versant est une zone dont la topographie permet l’écoulement d’eau vers un milieu adjacent où pousse l’espèce. Étant donné la variabilité naturelle de chaque population, l’habitat essentiel de toutes les colonies signalées, qu’elles soient historiques, existantes ou récemment découvertes, a été pris en compte pour l’établissement des limites de ces zones. Depuis 2009, des études ont permis de désigner un habitat total d’environ 3 ha essentiel à la survie de la bartramie à feuilles dressées.

Les attributs de l’habitat essentiel sont les suivants :

  • présence soit d’un affleurement rocheux à surface irrégulière et plus ou moins verticale, possédant des surplombs, soit d’un sol mince;
  • faible couverture d’arbres et d’arbustes (couverture d’arbres de 0 % à 35 % et couverture d’arbustes indigènes de moins de 1 %);
  • absence quasi totale de graminées indigènes et d’autres plantes herbacées (couverture maximale de 1 %), excepté la sélaginelle de Wallace (Selaginella wallacei), dont la couverture peut atteindre 30 % dans certains sites;
  • végétation souvent dominée par la mousse Niphotrichum elongatum (couverture de 5 % à 85 %);
  • altitude comprise entre 10 et 190 m;
  • exposition au sud (sud-ouest à sud-est);
  • suintement et/ou ruissellement de surface --le régime annuel d’apport en eau est un attribut essentiel : les sites sont secs en été et humides en hiver et au printemps, et la topographie du milieu environnant de chaque colonie favorise l’écoulement de l’eau vers celle-ci.

Des zones d’habitat essentiel de la bartramie à feuilles dressées se trouvent sur la colline Mary (district de Metchosin), dans la zone d’entraînement militaire Mary Hill, et sur la colline Nanoose (district de Nanoose), dans le Centre d’expérimentation et d’essais maritimes des Forces canadiennes (figures figure1 et figure2). Ces propriétés appartiennent au ministère de la Défense nationale et sont administrées par la Base des Forces canadiennes Esquimalt. McIntosh (2009a) a dressé la carte de huit zones d’habitat essentiel situées sur la colline Mary. Celles-ci occupaient un total d’environ 0,43 ha et étaient comprises dans un rectangle de 4,2 ha. Mcintosh (2009b) a aussi cartographié douze zones d’habitat essentiel situées sur la colline Nanoose, qui occupaient un total d’environ 2,4 ha et étaient comprises dans un rectangle de 22,6 ha. Au cours de récentes études effectuées dans ces sites en vue d’y cartographier en détail l’habitat essentiel de l’espèce, certaines des colonies de bartramie à feuilles dressées signalées n’ont pas été retrouvées. Cependant, les colonies signalées antérieurement étaient toutes situées à l’intérieur des secteurs délimités ci-dessous, et l’habitat essentiel désigné ci-dessus comprend l’habitat de ces colonies.

D’autres zones d’habitat essentiel de la bartramie à feuilles dressées se trouvent à l’île Lasqueti (district de Nanaimo), dans la réserve écologique de l’île Lasqueti (figure 3). Cette propriété est administrée par BC Parks (Province de la Colombie-Britannique), conformément à l’Ecological Reserve Act (RSBC, 1996). McIntosh (2008) y a cartographié trois zones d’habitat essentiel, qui occupent un total d’environ 0,11 ha et sont comprises dans un rectangle de 5,9 ha.


Figure 1. Secteurs (~ 1 ha et ~ 4,2 ha) où se trouve l’habitat essentiel de la bartramie à feuilles dressées dans la zone d’entraînement militaire Mary Hill, sur la colline Mary

Carte montrant les secteurs où se trouve l’habitat essentiel de la bartramie à feuilles dressées (voir description longue ci-dessous).

© Parcs Canada
Ce terrain est administré par le ministère de la Défense nationale (BFC Esquimalt). Environ 0,43 ha d’habitat essentiel a été désigné dans ces secteurs (McIntosh, 2009a).

Description pour la figure 1

Le secteur d’habitat essentiel no 290_05 forme un rectangle dont les coins sont situés aux coordonnées UTM suivantes (Zone 10 du NAD 83) : 458559, 5355002; 458559, 5355102; 458660, 5355102; 458660, 5355002. Le secteur d’habitat essentiel no 290_04 forme un rectangle dont les coins sont situés aux coordonnées UTM suivantes (Zone 10 du NAD 83) : 459235, 5354512; 459235, 5354743; 459418, 5354743; 459418, 5354512.

 

Figure 2. Secteur (~ 22,6 ha) où se trouve l’habitat essentiel de la bartramie à feuilles dressées dans le Centre d’expérimentation et d’essais maritimes des Forces canadiennes, sur la colline Nanoose

Carte montrant les secteurs où se trouve l’habitat essentiel de la bartramie à feuilles dressées (voir description longue ci-dessous).

© Parcs Canada
Ce terrain est administré par le ministère de la Défense nationale (BFC Esquimalt). Environ 2,4 ha d’habitat essentiel a été désigné dans ce secteur (McIntosh, 2009b).

Description pour la figure 2

Le secteur d’habitat essentiel no 290_06 forme un rectangle dont les coins sont situés aux coordonnées UTM suivantes (Zone 10 du NAD 83) : 415054, 5458042; 415054, 5458430; 415640, 5458430; 415640, 5458042.

 

Figure 3. Secteur (~5,9 ha) où se trouve l’habitat essentiel de la bartramie à feuilles dressées dans la réserve écologique de l’île Lasqueti, à l’île Lasqueti

Carte montrant les secteurs où se trouve l’habitat essentiel de la bartramie à feuilles dressées (voir description longue ci-dessous).

© Parcs Canada
Ce terrain est administré par BC Parks, conformément à l’Ecological Reserve Act (RSBC, 1996). Environ 0,11 ha d’habitat essentiel a été désigné dans ce secteur (McIntosh, 2008).

Description pour la figure 3

Le secteur d’habitat essentiel no 290_01 forme un rectangle dont les coins sont situés aux coordonnées UTM suivantes (Zone 10 du NAD 83) : 405785, 5479374; 405785, 5479659; 405992, 5479659; 405992, 5479374.


3.3 Activités risquant de détruire l’habitat essentiel

Certaines activités sont susceptibles de détruire l’habitat essentiel parce qu’elles en modifient les attributs. Une telle destruction survient si une partie de l’habitat essentiel est détériorée, de façon temporaire ou permanente, d’une manière telle qu’il ne remplit plus son rôle lorsque l’espèce en a besoin. La destruction peut résulter d’une ou de plusieurs activités ponctuelles ou de leurs effets cumulatifs dans le temps. Le tableau 1 (ci-dessous) montre des exemples de telles activités. Il est important de signaler que certaines de ces activités, même si elles se déroulent en dehors des limites de l’habitat essentiel, sont susceptibles de le détruire.

Toutes les espèces possèdent une certaine résilience. Cependant, on ne connaît pas le niveau de perturbation de l’habitat que la bartramie à feuilles dressées peut tolérer. Jusqu’à preuve du contraire, il est plus prudent de supposer que l’espèce est très sensible aux perturbations. C’est ainsi qu’ont été choisis les exemples ci-dessous d’activités susceptibles de détruire l’habitat essentiel de l’espèce.

Tableau 1. Exemples d’activités susceptibles de détruire l’habitat essentiel et de leurs effets sur les attributs de l’habitat essentiel
Exemples d’activités Effets possibles de l’activité sur l’habitat essentiel Sites les plus exposés
Circulation (utilisation de véhicules, passages fréquents à pied, escalade, etc.) liée aux activités récréatives, à l’entraînement militaire ainsi qu’à l’aménagement ou à l’entretien des terres.

Les activités de ce type compactent le sol, causent de l’érosion, introduisent des espèces exotiques et risquent d’altérer le régime hydrologique du milieu.

Le compactage du sol et la création d’ornières et de sentiers altèrent le régime hydrologique (diminution de l’infiltration d’eau, accroissement du ruissellement, etc.). Le stress hydrique causé par la modification du régime hydrologique peut entraîner une hausse de la mortalité chezla bartramie à feuilles dressées, de diverses façons : arrachement des plantes en période de débit élevé, changements favorisant des espèces compétitrices, ou modification des caractéristiques de l’habitat (luminosité, nutriments, humidité, etc.).

L’érosion, qui entraîne une perte directe de roche ou de terre, est susceptible de limiter l’espace nécessaire à la croissance des individus et au maintien des populations. L’érosion peut aussi engendrer des changements dans le régime hydrologique (baisse de la capacité de rétention d’eau, modification de la direction de l’écoulement, etc.) et ainsi réduire la capacité du milieu à soutenir la bartramie à feuilles dressées.

La circulation dans l’habitat essentiel augmente la probabilité d’introduction et ou dispersion de plantes exotiques envahissantes, particulièrement lorsque les vêtements et l’équipement ne sont pas nettoyés entre leurs utilisations dans des secteurs différents. L’introduction de plantes exotiques envahissantes risque d’entraîner des changements dans les attributs de l’habitat essentiel (quantité de lumière, de nutriments, ou d’eau). Ces changements, en rendant l’habitat non propice à la bartramie à feuilles dressées, peuvent entraîner une mortalité accrue. Les plantes exotiques envahissantes, même si elles sont introduites à l’extérieur de l’habitat essentiel, peuvent altérer le régime hydrologique de l’habitat essentiel ou s’y propager.

Colline Mary et colline Nanoose
Modification du paysage (développement foncier, entretien ou modification des structures existantes, activités d’aménagement paysager comme l’excavation ou le dynamitage, etc.)

La transformation des terres liée à ce type d’activités risque d’entraîner une perte directe d’habitat et de limiter ainsi l’espace nécessaire à la croissance des individus et au maintien des populations.

Ces activités risquent également de détruire l’habitat essentiel ou d’en modifier les attributs (régime hydrologique, quantité de lumière, etc.). Les perturbations qu’elles occasionnent pourraient accroître la mortalité chez l’espèce.

De plus, ces activités favorisent souvent l’introduction de plantes exotiques envahissantes, ce qui risque d’entraîner des changements dans les attributs de l’habitat essentiel (quantité de lumière, de nutriments ou d’eau, etc.).

Selon sa nature, une activité est susceptible d’avoir des répercussions sur les attributs de l’habitat essentiel à différentes distances de celui-ci. Par exemple, l’ombre créée par un bâtiment peut altérer la quantité de lumière disponible. Le dynamitage et le creusage de fossés peuvent modifier l’écoulement souterrain et superficiel de l’eau sur de relativement grandes distances et ainsi altérer le régime hydrologique de l’habitat. Les espèces exotiques envahissantes peuvent se propager et avoir des répercussions à grande échelle.

Colline Mary et colline Nanoose


3.4 Calendrier des études nécessaires pour définir l’habitat essentiel

On ignore si l’habitat essentiel décrit ci-dessus est suffisant pour garantir la survie de la bartramie à feuilles dressées. Le tableau 2 présente les principales études pouvant aider à désigner un habitat essentiel suffisant. La promotion de ces études sera faite auprès des partenaires intéressés (les gestionnaires de terres abritant l’espèce, l’Équipe de rétablissement des écosystèmes du chêne de Garry, l’Équipe de rétablissement des bryophytes de la Colombie-Britannique, le gouvernement de la Colombie-Britannique, etc.) et des milieux universitaires. Les résultats de ces études obligeront peut-être à revoir la désignation de l’habitat essentiel de la bartramie à feuilles dressées ou à augmenter la superficie d’habitat jugée essentielle.

Tableau 2. Calendrier des études nécessaires pour définir l’habitat essentiel
Description de l’activité Justification/résultats attendus Échéance
Évaluer et cartographier l’habitat de l’espèce dans les localités récemment découvertes. Il faut délimiter l’habitat essentiel dans toutes les occurrences connues. Décembre 2015

4. Effets sur les espèces non ciblées

La présente section remplace la section « Effets sur les espèces non ciblées » du programme de rétablissement provincial.

Il est impossible de mentionner toutes les interactions environnementales pouvant découler des mesures proposées pour le rétablissement de la bartramie à feuilles dressées. Cependant, on peut penser que ces mesures bénéficieront également à d’autres espèces. Par exemple, les mesures d’information et de sensibilisation du public à l’égard de la bartramie à feuilles dressées conduiront peut-être à une diminution des activités récréatives nuisibles dans les secteurs abritant d’autres espèces en péril, et les mesures de protection, de suivi et de gestion des sites abritant la bartramie à feuilles dressées assureront peut-être accessoirement la protection de l’habitat d’autres espèces en péril.

Il peut cependant arriver que les mesures prises pour rétablir la bartramie à feuilles dressées aient des effets négatifs sur d’autres espèces. Par exemple, le piétinement et les autres formes de perturbation associées aux activités de terrain (relevés, recherches, interventions de gestion du paysage) risquent de nuire aux espèces rares qui ont été signalées à l’intérieur ou à proximité de sites où pousse la bartramie à feuilles dressées. Si ces activités ne sont pas bien planifiées et mises en œuvre, les mesures de rétablissement pourraient nuire à d’autres plantes en péril.

L’Agence Parcs Canada et ses partenaires, notamment l’Équipe de rétablissement des écosystèmes du chêne de Garry, dirigent les mesures de rétablissement visant diverses espèces vivant dans les environs des écosystèmes du chêne de Garry, dont la bartramie à feuilles dressées, et s’assurent que les mesures prises à l’égard d’une espèce ne nuisent pas à d’autres espèces.

5. Considérations socioéconomiques

La présente section remplace la section « Considérations socioéconomiques » du programme de rétablissement provincial. Le Programme de rétablissement de la bartramie à feuilles dressées (Bartramia stricta Bridel) en Colombie-Britannique comprend une section intitulée « Considérations socioéconomiques ». Il y est dit que l’importance des répercussions socioéconomiques du rétablissement de l’espèce serait faible à modérée. Cependant, aucune évaluation systématique des coûts et bénéfices socioéconomiques liés à la mise en œuvre du programme n’a encore été faite par le gouvernement fédéral. Le ministre fédéral de l’Environnement inclura une évaluation socioéconomique dans le ou les plans d’action qui seront rédigés conformément à l’alinéa 49(1)e) de la LEP. Pour cette raison et parce que le paragraphe 41(1) de la LEP n’exige aucune analyse des répercussions socioéconomiques pour les programmes de rétablissement, la section intitulée « Considérations socioéconomiques » du programme provincial ne fait pas partie du programme de rétablissement de la bartramie à feuilles dressées adopté par le ministre de l’Environnement du Canada. De plus, aucune considération socioéconomique n’a été prise en compte lors de la préparation des différentes parties du supplément fédéral.

6. Plans d’action

La présente section remplace la section « Énoncé sur les plans d’action » du programme de rétablissement provincial. Un plan d’action de rétablissement sera prêt d’ici juillet 2016.

7. Références

La présente section vise à ajouter les références requises par la partie fédérale du programme de rétablissement.

Agence Parcs Canada. 2006. Programme de rétablissement multi-espèces visant les plantes en péril des mares printanières et autres milieux humides saisonniers associés aux chênaies de Garry au Canada, Série des programmes de rétablissement de la Loi sur les espèces en péril, Ottawa, Agence Parcs Canada, 82 pages.

Belland, R.J. 1997. Rapport de situation du COSEPAC sur la bartramie à feuilles dressées (Bartramia stricta) au Canada, Comité sur la situation des espèces en péril au Canada (COSEPAC), Ottawa (Ontario).

Belland, R.J. 1997b. Rapport de situation du COSEPAC sur la bartramie à feuilles dressées (Bartramia stricta) au Canada, Addendum, préparé pour le Comité sur la situation des espèces en péril au Canada (COSEPAC), Environnement Canada, Ottawa (Ontario).

Byrne, L., N. Ayotte, et A. Robinson. 2005. Survey for Rigid Apple Moss (Bartramia stricta) on Department of National Defence and on Vancouver Island (CFMETR and Mary Hill), Ressources naturelles Canada et Service canadien des forêts, Victoria (Colombie-Britannique).

Fairbarns, M. 2008. Critical habitat for plants at risk in Garry oak and associated ecosystems: year 1 results (2006-07), Ecosystems Branch, BC Ministry of Environment, Victoria (Colombie-Britannique).

Garry Oak Ecosystems Recovery Team (GOERT). 2002. Recovery Strategy for Garry Oak and Associated Ecosystems and their Associated Species at Risk in Canada: 2001-2006, Garry Oak Ecosystems Recovery Team, (http://www.goert.ca/documents/RSDr_Feb02.pdf) [site Web en anglais, consulté le 8 octobre 2009], x+ 191 pages.

McIntosh, T. 2009a. Report on an Inventory and a Critical Habitat Assessment for Rigid Apple Moss (Bartramia stricta) at Mary Hill (Department of National Defence (DND)), Vancouver Island, Travaux publics et Services gouvernementaux Canada, Bureau de l’écologisation des opérations gouvernementales, Région du Pacifique, iv + 34 pages.

McIntosh, T. 2009b. Report on an Inventory and a Critical Habitat Assessment for Rigid Apple Moss (Bartramia stricta) at Notch Hill (CFMETR - DND), Vancouver Island, Travaux publics et Services gouvernementaux Canada, Bureau de l’écologisation des opérations gouvernementales, Région du Pacifique, iv + 30 pages.

McIntosh, T. 2008. Report on a 2008 Survey for Rigid Apple Moss (Bartramia stricta) on the Lasqueti Island Ecological Reserve, Lasqueti Island, Agence Parcs Canada, Victoria (Colombie-Britannique), iii+ 28 pages.

Détails de la page

Date de modification :