Bartonie paniculée (ssp. paniculata) évaluation et rapport de situation du COSEPAC : chapitre 12

Résumé technique

Bartonia paniculata ssp. paniculata

Bartonie paniculée – Branched bartonia

Répartition au Canada :

Ontario

Information sur la répartition

Zone d’occurrence (km²) :
D’après le polygone autour de l’ensemble des sites. 400 km²
Préciser la tendance (en déclin, stable, en croissance, inconnue).
Stable
Y a-t-il des fluctuations extrêmes dans la zone d’occurrence (ordre de grandeur > 1)?
Non
Zone d’occupation (km²)
D’après la superficie des tourbières des sites. <1 km²
Préciser la tendance (en déclin, stable, en croissance, inconnue).
Stable
Y a-t-il des fluctuations extrêmes dans la zone d’occupation (ordre de grandeur > 1)? 
Non
Nombre d’emplacements existants (connus ou supposés).
6
Préciser la tendance du nombre d’emplacements (en déclin, stable, en croissance, inconnue).
Inconnue
Y a-t-il des fluctuations extrêmes du nombre d’emplacements (ordre de grandeur >1)?
Non
Tendance de l’habitat : préciser la tendance de l’aire, de l’étendue ou de la qualité de l’habitat (en déclin, stable, en croissance ou inconnue).
Stable

Information sur la population

Durée d’une génération (âge moyen des parents dans la population :  indiquer en années, en mois, en jours, etc.).
1 an
Nombre d’individus matures (reproducteurs) au Canada (ou préciser une gamme de valeurs plausibles).
Peut-être 500-1 000 (la valeur supérieure est fortement hypothétique.)
Tendance de la population quant au nombre d’individus matures en déclin, stable, en croissance ou inconnue.
Inconnue
S’il y a déclin, % du déclin au cours des dernières/prochaines dix années ou trois générations, selon la plus élevée des deux valeurs (ou préciser s’il s’agit d’une période plus courte).
S.O.
Y a-t-il des fluctuations extrêmes du nombre d’individus matures (ordre de grandeur > 1)?
On ne sait pas.
La population totale est-elle très fragmentée (la plupart des individus se trouvent dans de petites populations, relativement isolées [géographiquement ou autrement] entre lesquelles il y a peu d’échanges, c.-à-d. migration réussie de < 1 individu/année)?
Oui
Préciser la tendance du nombre de populations (en déclin, stable, en croissance, inconnue).
Stable
Y a-t-il des fluctuations extrêmes du nombre de populations (ordre de grandeur >1)?
Non
Enumérer chaque population et donner le nombre d’individus matures dans chacune :
Voir tableau 1

Menaces (réelles ou imminentes pour les populations ou les habitats)

  • Les arbustes envahissants sont la menace la plus grave dans deux sites.
  • Possibilité de reconstruction du chemin de fer.

Effet d’une immigration de source externe

Statut ou situation des populations de l’extérieur?
États-Unis : Non en péril
Une immigration a-t-elle été constatée ou est-elle possible?
Peu probable
Des individus immigrants seraient-ils adaptés pour survivre au Canada?
On ne sait pas.
Y a-t-il suffisamment d’habitat disponible pour les individus immigrants au Canada?
Peut-être
Une immigration depuis des populations extérieures est-elle vraisemblable?
Peu probable

Analyse quantitative

n.d.

Statut actuel

COSEPAC : Espèce menacée

Statut et justification de la désignation

Statut : Espèce menacée

Cote alphanumérique : L’espèce satisfait aux critères d’espèce en voie de disparition aux termes de B1ab(iii)+2ab(iii); C2a(i), parce qu’elle ne présente aucun risque imminent de disparaître du pays.

Justification de la désignation : Espèce annuelle cryptique des terres humides ayant des affinités avec la plaine côtière de l’Atlantique, dont la répartition géographique et écologique est fortement limitée, et qui n’est présente que dans six ou sept sites connus. Les populations de l’Ontario sont distantes d’environ 600 km de l’aire de répartition principale de l’espèce, et il y a peu de chance d’une immigration de source externe. À deux des emplacements, le plus grand risque éventuel provient du nerprun bourdaine, un arbuste envahissant.

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