Épilobe densifore (Epilobium densiflorum) évaluation et rapport de situation du COSEPAC : chapitre 7

Taille et tendances des populations

Au moins 19 occurrences de l’Epilobium densiflorum ont été signalées au Canada, et on estime que ce nombre pourrait atteindre 31 (tableau 2). Des habitats possibles ont été examinés à plusieurs reprises depuis le début des années 1980, dans le cadre d’une série de projets visant à répertorier la répartition des plantes rares dans les prés dégagés du sud-est de l’île de Vancouver et des îles Gulf. Les principaux chercheurs ayant participé à ces projets sont Adolf et Oldriska Ceska, Chris Brayshaw, Hans Roemer, Harvey Janszen, Frank Lomer, George Douglas et Matt Fairbarns; tous connaissent bien l’E. densiflorum. Plus de 1 000 ha de milieux convenant à l’espèce, répartis entre plus de 80 localités, ont été explorés, et une bonne partie de ces milieux ont été examinés plus d’une fois pendant la durée des projets. Au cours de la dernière décennie, plus de 500 jours-personnes ont été consacrés à la recherche de plantes rares dans des habitats possibles. Ces travaux comprennent des recherches visant spécifiquement l’E. densiflorum (environ 10 jours-personnes en 2001 et 8 jours-personnes en 2003). Malgré ces efforts concertés, seulement quatre populations de cette espèce ont été découvertes lors des relevés de 2001 et de 2003. Ces années semblaient pourtant de bonnes années pour trouver l’E. densiflorum, si l’on se fie à l’abondance et à la vigueur des individus de la population 1 (en 2001 et 2003), de la population 3 (en 2003), de la population 4 (en 2001 et 2003) et de la population 2 (en 2001). Le mauvais état de la population 2 en 2003 est entièrement imputable à une perturbation physique du terrain (voir ci-dessous).

Tableau 2. Données sur les populations d’Epilobium densiflorum
Population Dernière récolte ou dernier relevé Superficie occupée Nombre d’individus (2003)
Population 1 Fairbarns, 2003 10 100
2 000-2 500
Population 2 Fairbarns, 2003 1 m²
1
Population 3 Fairbarns, 2003 2,5 m²
50
Population 4 Fairbarns, 2003 40 m²
800
Qualicum Carter, 1910 historique
0?
Baie Departure Macoun,1887 historique
0?
University of Victoria Hett, 1962 historique
0?
Cedar Ceska et Ceska, 2001 apparemment disparue
0
Route de White Rapids Fairbarns, 2003 apparemment disparue
0
Baie Maple Ceska et Ceska, 2001 apparemment disparue
0
Somenos Fairbarns, 2003 apparemment disparue
0
Baie Swartz Fairbarns, 2003 apparemment disparue
0
Chemin Wallace Fairbarns, 2003 apparemment disparue
0
Tourbière Rithet Fairbarns, 2003 apparemment disparue
0
Parc Uplands Fairbarns, 2003 apparemment disparue
0
Étang King Fairbarns, 2003 apparemment disparue
0
Lac Swan Fairbarns, 2003 apparemment disparue
0
Étang Spencer Fairbarns, 2003 apparemment disparue
0
Île North Pender Fairbarns, 2003 apparemment disparue
0

Occurrences confirmées

Population 1

Cette grande population est connue depuis au moins 1999, bien qu’il existe quelques spécimens plus anciens, provenant de « Wellington » et accompagnés de vagues indications de localité (p. ex. le spécimen de Carter de 1912 = UBC 86850), qui ont peut-être été récoltés à cet endroit. Plus de 2 000 individus ont été dénombrés en 2001. Les relevés de 2003 indiquent que la plus grande partie de la population se trouve toujours dans la zone examinée en 2001, mais que la superficie occupée en 2003 s’étend sur plusieurs centaines de mètres au-delà de la zone examinée en 2001.

Population 2

Cette population est connue au moins depuis qu’Adolf et Oldriska Ceska l’ont observée en 1992. Le nombre d’individus qui étaient présents à ce moment est incertain, mais on a dénombré à cet endroit 40 individus en 1994 et 420 en 2001. Compte tenu de l’absence de relevés entre 1994 et 2001, cet accroissement considérable de la population de cette espèce annuelle n’est pas considéré comme un cas de fluctuation extrême de la taille de la population (plus d’un ordre de grandeur). D’autres relevés seraient nécessaires pour étayer cette hypothèse. La population se trouve dans un fossé peu profond et en bordure de celui-ci, le long d’un chemin de gravier sec. Le sol était demeuré humide une bonne partie du printemps, étant irrigué par une petite rigole saisonnière. Entre 2001 et 2003, le secteur a été modifié par le nivellement de la route, la construction d’une nouvelle voie remontant la pente et l’empilement d’arbustes coupés. Une seule plante a été observée en 2003, ce qui représente un déclin d’environ 10 p. 100 de l’effectif.

Population 3

Cette population est connue depuis qu’un spécimen a été récolté à cet endroit en 1966 (UVIC 009971). Il est possible que des spécimens ayant été récoltés dans la région de Sidney proviennent également de cette localité (p. ex. le spécimen de Macoun de 1908 = CAN 83551). La taille de la population et la superficie occupée n’ont pas été estimées en 1966, mais on a dénombré 50 individus en 2003, occupant une superficie d’environ 2,5 m². Bien que le lieu de récolte exact du spécimen de 1966 soit indiqué de manière légèrement différente, l’observation de 2003 vise probablement la même touffe de plantes, qui se trouve à la jonction de deux courts chemins, dont un a été identifié lors de la récolte de 1966. Dans le secteur, aucun milieu similaire ne peut être celui indiqué en 1966.

La population 3 se trouve sur un terrain privé. Les plantes poussent dans une baissière ou un fossé peu profond, sur une pelouse résidentielle entretenue et facile à apercevoir de la route. Chez la plupart des individus, la tige principale avait été coupée par la tonte du gazon, mais des fleurs étaient apparues sur des rameaux axillaires, et des fruits commençaient à grossir lorsque les plantes ont été observées en 2003.

Population 4

Cette grande population est connue depuis 1958. Elle semble relativement stable, mais le nombre d’individus est variable : 900 en août 1993, 750 en août 2001 et environ 800 en août 2003.

Autres occurrences signalées

Récoltes historiques

Qualicum

Cette population est représentée par un spécimen récolté par Carter en 1910, étiqueté « Qualicum, Vancouver Island » (UBC 86863), et peut-être également par un spécimen récolté en 1916, étiqueté « Wellington and Little Qualicum » (V 003398). La bande côtière qui s’étend depuis Qualicum Beach jusqu’à l’embouchure de la rivière Qualicum a subi un développement résidentiel et récréatif intensif depuis que ces spécimens ont été récoltés, mais il est possible que de petits secteurs d’habitat possibles aient subsisté. Les habitats possibles ont fait l’objet de nombreux relevés dans l’ensemble de l’aire de répartition de l’espèce en Colombie-Britannique. Cependant, compte tenu de l’étendue de la zone d’occurrence de l’espèce et de l’imprécision de la localisation du spécimen historique de Qualicum, on ne peut affirmer que chaque parcelle d’habitat possible ait été explorée.

Baie Departure

Cette population est représentée par un seul spécimen, récolté par Macoun en 1887 (CAN 83554). L’endroit est aujourd’hui occupé par une grande gare maritime, et le couvert végétal a été considérablement altéré par le développement industriel. Les quelques zones laissées à l’état naturel ont été envahies par plusieurs espèces exotiques de graminées et d’autres plantes herbacées.

University of Victoria

Cette population a été signalée pour la première fois en 1962 (UVIC 00967) et n’a pas été observée depuis. Elle se trouvait parmi des chênes de Garry, le long d’un sentier ombragé. Or, les chênaies et les prés voisins de l’université ont subi des impacts majeurs au cours des 40 dernières années : ces milieux ont été semés et fauchés pour la production de foin jusque durant les années 1980, le sol a été recouvert de manière temporaire durant les Jeux du Commonwealth, et des travaux ont été effectués pour l’expansion de l’université.

Populations disparues

Cedar

Cette population se trouvait le long du sentier Cable Bay, près de la limite entre un boisé privé et une terre publique administrée par la municipalité de Nanaimo. On dispose de peu de renseignements sur la première observation. Les premiers herborisateurs sont retournés à cet endroit en 2001 et n’y ont trouvé aucune plante de l’espèce. La population se trouvait dans de petites cuvettes légèrement inclinées, à sol mince, le long d’une pente rocheuse dominée par un pré. L’exploitant forestier a entrepris deux années de travaux de coupe dans les environs. Une partie des forêts de douglas environnant le pré a peut-être été coupée lors de cette opération, et il est possible que des véhicules aient circulé sur le pré lui-même.

Route de White Rapids

Cette population est connue depuis la récolte d’un spécimen en 1987 (V 171516), mais certains spécimens récoltés antérieurement dans la région proviennent peut-être de cet endroit (voir ci-dessus). Vingt-sept individus ont été observés en 2001, mais il semble qu’une des sous-populations observées en 1987 avait déjà disparu. Depuis, la propriété privée où se trouvaient les deux autres sous-populations a été considérablement modifiée par la coupe de bois, la pose de clôtures, le drainage et le pâturage. Aucun individu n’a été observé lors du relevé de 2003, mais certains secteurs nouvellement clôturés n’ont pas été parcourus exhaustivement.

La partie connue de la population de la route de White Rapids se trouvait tout au plus à 3,5 km de la population 1, et il est possible que ces deux populations aient auparavant formé une population continue. Le terrain situé entre les deux a été transformé par le développement résidentiel et la coupe de bois et ne semble plus convenir à l’espèce.

Baie Maple

Cette population, qui se trouvait sur une propriété privée, a été signalée pour la première fois en 1986. Les premiers herborisateurs y sont retournés en 2001 et n’ont pas retrouvé de plantes de l’espèce. Le fossé peu profond bordant la route, où la population a été observée, avait été creusé, et la végétation environnante, un pré dégagé employé comme pâturage, avait été remplacé par un peuplement de graminées haut et dense où dominait le Phalaris arundinacea.

Zone protégée de chênes de Garry de Somenos

Cette population se trouvait sur des terres de la Couronne inoccupées. Le terrain a été acheté par la province en vue de l’établissement d’une zone protégée, mais il n’a pas encore été désigné comme tel.

La population est connue au moins depuis la première récolte d’un spécimen en 1992 (V 173045). Elle occupait alors une étroite bande de terrain plat et humide une partie de l’année, entre les milieux humides bordant le ruisseau Somenos et les forêts sèches de douglas occupant la pente remontant vers l’est. En 2001, les premiers observateurs sont retournés à cet endroit et n’y ont trouvé aucun individu de l’espèce. En 2003, le secteur a fait l’objet d’un relevé minutieux visant plusieurs espèces rares qui y avaient été signalées. L’ancien site d’Epilobium densiflorum a été visité à plusieurs reprises en 2003, mais aucun individu de l’espèce n’a été trouvé.

Des portions du terrain plat ont été modifiées de façon permanente lorsque des entrepreneurs y ont empilé de la terre de remplissage pour un projet de pont enjambant le ruisseau. Le projet semble avoir été reporté, mais la terre demeure sur place. On ignore si les plantes signalées se trouvaient à cet endroit exact ou ailleurs sur le terrain plat.

Étang Spencer

Cette population se trouvait dans un étang saisonnier qui conserve des eaux stagnantes durant une bonne partie de l’été et dont la partie centrale est dominée, par conséquent, par une végétation émergente caractéristique des terres humides. On dispose de peu d’information sur la première observation. Les premiers observateurs sont retournés à cet endroit en 2001 et n’y ont trouvé aucun individu de l’espèce. Le site a fait l’objet d’un relevé minutieux en 2003, mais aucun individu de l’espèce n’y a été trouvé, bien qu’il existe toujours des milieux propices dans les environs. 

Un spécimen récolté en 1922 par Newcombe (V 007046, étiqueté « Langford ») pourrait provenir de la même population que les spécimens de l’étang Spencer

Lac Swan

Cette population est représentée par un seul spécimen récolté par Macoun en 1908 (CAN 83552). Le lieu accueille aujourd’hui un centre d’interprétation de la nature et un réseau de sentiers et a été visité régulièrement par des botanistes pendant des années. La végétation entourant le lac Swan a été considérablement modifiée par des perturbations hydrologiques et l’établissement de plusieurs espèces exotiques de graminées et d’autres plantes herbacées. 

Étang King

Cette population se trouvait sur le terrain de golf Cedar Hill, qui appartient à la municipalité de Saanich. On dispose de peu d’information sur la première observation. Les herborisateurs sont retournés à cet endroit (du côté ouest de l’étang King) en 2001 et n’y ont trouvé aucun individu de l’espèce.

Des relevés exhaustifs ont été menés en août 2003 autour de l’étang King, dans une longue terre humide située à environ 100 m au sud, dans des mares printanières asséchées situées entre ces deux milieux et dans des parcelles de graminées des terrains élevés voisins. La zone de rabattement entourant l’étang King est dominée par un assemblage diversifié d’espèces introduites vigoureuses, dont le Lythrum salicaria. Dans les terrains élevés, les parcelles de graminées rétrécissent graduellement au profit des parcelles d’arbustes introduits (notamment le Cytisus scoparius). La zone de rabattement entourant la longue terre humide a une végétation clairsemée, mais le rabattement est peut-être effectué à des dates défavorables à l’Epilobium densiflorum. Les mares printanières pourraient constituer le meilleur habitat, car les eaux stagnantes y disparaissent relativement tôt pendant la saison de croissance de l’espèce et ne portent pas un dense couvert de plantes compétitrices. L’E. densiflorum n’a pas été observé lors du relevé de 2003, et la population semble avoir disparu. Cependant, pour confirmer ceci, il faudrait revisiter l’endroit au cours d’années connaissant des précipitations différentes.

Un spécimen récolté en 1920 par Anderson (V 041702, étiqueté « Cedar Hill ») pourrait provenir de la population de l’étang King.

Parc Uplands

Cette population est connue au moins depuis la récolte d’un spécimen par Melburn, en 1953 (V 101214). D’autres spécimens y ont été récoltés en 1956 (UVIC 009968) et en 1961 (DAO, numéro de dépôt inconnu). Certains spécimens récoltés précédemment pourraient également provenir de cette population (p. ex. le spécimen de Davidson de 1913 étiqueté « between Uplands and Tolmie » = CAN 83551 et le spécimen de Malte de 1911 étiqueté « Oak Bay » = CAN 197576). Brayshaw (1991), dans son résumé de plusieurs années d’observations, a indiqué sur une carte plusieurs sites situés dans le parc Uplands. En 2001, le parc a fait l’objet de relevés visant à retrouver l’Epilobium densiflorum, mais en vain. Un autre relevé très exhaustif, visant à cartographier les espèces rares, a été effectué en 2003. 

Tourbière Rithet

Cette population, qui se trouvait sur des terres appartenant à la municipalité de Saanich, a été signalée pour la première fois en 1951. Les auteurs du présent rapport ont parcouru le terrain en 2001 et en 2003 et n’y ont pas trouvé d’Epilobium densiflorum. La plus grande partie du milieu humide est aujourd’hui envahie par des saules et des graminées introduites (notamment le Phalaris arundinacea). 

Chemin Wallace

Un spécimen de cette population a été récolté en 1966 (UVIC 009969); la population n’a plus été signalée par la suite. La personne ayant récolté le spécimen ne se souvient plus de détails sur l’endroit ni sur la population (B. Turner, comm. pers., août 2003). L’étiquette mentionne un tronçon de 3 km du chemin Wallace. Ce tronçon a fait l’objet d’une recherche infructueuse en août 2003. Environ 50 p. 100 du secteur alors examiné avait été transformé en terrains agricoles, résidentiels ou servant à l’industrie légère. Le reste du secteur ne contient aucun milieu convenant à l’espèce ou a été gravement altéré par le creusage d’un fossé pendant les années 1980 (Dave Fraser, comm. pers., le 8 octobre 2003) et par l’établissement de graminées exotiques. 

Baie Swartz

Un premier spécimen de cette population a été récolté par Ashlee en 1954 (UBC 87934). Ashlee a récolté des plantes dans le même secteur en 1958 (V 034640). La localité (« Swartz Bay, weedy fill at the end of landing ramp ») a changé considérablement au cours des 49 dernières années et est aujourd’hui occupée par la principale gare maritime du traversier de Victoria. La plus grande partie du secteur ne peut plus soutenir de végétation. En août 2003, l’espèce a été cherchée en vain dans les dernières parcelles de mauvaises herbes.

Île North Pender

La population se trouvait dans un fossé herbeux peu profond bordant un chemin, près de l’ancienne école de l’île Pender, à proximité d’Otter Bay. Le premier spécimen a été récolté par Janszen en 1981 (V 113544), mais le terrain a été gravement altéré par des travaux de construction au cours des dernières années, et il est improbable que l’Epilobium densiflorum y ait survécu (Harvey Janszen, comm. pers., 2003).

Récolte mal identifiée 

Courtney

On avait établi que l’Epilobium densiflorum poussait dans des vasières de Courtney, d’après une photographie. Par la suite, on a déterminé qu’il s’agissait d’une autre espèce (R. Walker, comm. pers., août 2003).

Localités imprécises

Les spécimens suivants d’Epilobium densiflorum ne portent que des indications imprécises de localité et pourraient provenir de certaines des populations susmentionnées.

  1. Sea’s Farm, près de Victoria : ce spécimen récolté par Macoun en 1893 (CAN 83548) pourrait provenir de l’un des sites de Victoria. L’emplacement de la « Sea’s Farm » ne figure nulle part.
  2. Près de Sidney, île de Vancouver : ce spécimen récolté par Macoun en 1908 (CAN 83551) pourrait provenir de la population 3 ou du site historique de la baie Swartz.
  3. Sidney : ce spécimen récolté par Macoun en 1913 (V 003397) pourrait provenir de la population 3 ou du site historique de la baie Swartz.
  4. Sidney : ce spécimen récolté par Goddard en 1927 (V 008256) pourrait provenir de la population 3 ou du site historique de la baie Swartz.
  5. Saanichton : ce spécimen récolté par Newcombe en 1931 (009071) pourrait provenir du site historique du chemin Wallace.
  6. Victoria, entre Uplands et Tolmie : ce spécimen récolté par Davidson en 1913 (UBC 26117) pourrait provenir des sites historiques de l’étang King, du parc Uplands ou de la University of Victoria.
  7. Cedar Hill : ce spécimen récolté par Anderson en 1920 (V 007046) pourrait provenir du site historique de l’étang King.
  8. Baie Oak, Colombie-Britannique : ce spécimen récolté par Malte en 1911 (CAN 197576) pourrait provenir du site historique des Uplands.
  9. Goldstream : ce spécimen récolté par Anderson en 1896 (V 03399) pourrait provenir du site historique de l’étang Spencer.
  10. Langford : ce spécimen récolté par Newcombe en 1922 (V 007046) pourrait provenir du site historique de l’étang Spencer, ou de dépressions humides qui se trouvaient le long des berges du lac Langford.
  11. Wellington, île de Vancouver : ce spécimen récolté par Carter en 1912 (UBC 86850) pourrait provenir de la population 1 ou du site historique de la baie Departure.
  12. Wellington et Little Qualicum : ce spécimen récolté par Carter en 1916 (V 003398) pourrait provenir de la population 1 ou du site historique de Qualicum.

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